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Viandes rouges : Les prix se maintiennent à des niveaux stables

Par Eco Times
4 mai 2025
Dans Consommation
679
A A
Viandes rouges : Les prix se maintiennent à des niveaux stables

Durant le quatrième trimestre 2024, les prix moyens des viandes rouges locales, toutes catégories confondues, se maintiennent à des niveaux stables. En effet, les prix des viandes ovines et bovines n’ont pas enregistré de grandes variations entre les mois d’octobre et décembre, selon une Note de conjoncture trimestrielle (quatrième trimestre 2024) sur le suivi des prix du cheptel vivant, des viandes et des intrants alimentaires, réalisée par l’observatoire des filières viandes rouges.

Synthèse d’Akrem R.

Les auteurs de cette note ont relevé une stabilité relative des prix pour les viandes ovines, accompagnée d’une légère augmentation de 4 % pour les viandes bovines locales et de 3 % pour la viande caprine.

Les prix de la viande ovine locale, selon les régions et la qualité de la viande, oscillent entre 2600 et 2900 DA le kg pour l’agneau. De même, les prix de la viande bovine locale varient en fonction du type de viande : la viande de veau est vendue entre 2500 DA et 2800 DA le kg, tandis que la viande de bœuf (sans os) se situe entre 2400 et 2700 DA le kg, selon les régions.

Concernant les prix des viandes bovines et ovines importées fraîches, ces derniers ont enregistré une certaine stabilité, les prix et les marges étant plafonnés par des textes de loi, notamment le journal officiel n°26 du 14 avril 2024 (Décret exécutif n° 24-133 du 9 avril 2024). Il convient de noter que ces viandes importées n’ont pas eu d’impact significatif sur la baisse des prix des viandes locales.

En effet, la demande croissante de consommation empêche une réelle adaptation des prix en fonction de la demande et du type de produit offert. De plus, l’émergence du marché informel, avec la multiplication des intermédiaires, contribue à la hausse des marges.

Il est aussi essentiel de multiplier les efforts pour protéger les espèces vulnérables, en interdisant l’abattage clandestin des femelles (brebis, agnelles et antenaises), malgré les lois en vigueur qui interdisent ces pratiques sans avis sanitaire et médical.

Marché du cheptel bovin et ovin

Concernant les prix du cheptel bovin mâle local au niveau des marchés à bestiaux, une légère hausse a été enregistrée entre octobre et décembre 2024 pour les différentes catégories : 6 % pour les veaux, 5% pour les taurillons, et stabilité des prix pour les taureaux de race locale. Pour le cheptel bovin mâle importé, une tendance similaire a été observée, avec une légère hausse de 2 % pour les veaux et de 3% pour les taurillons, tandis que les prix des taureaux sont restés relativement stables.

Pour le cheptel ovin, les prix ont enregistré une stabilité générale durant ce trimestre 2024, avec une légère augmentation des prix (1 %) entre octobre et décembre pour les agneaux, les antenais et les béliers de plus de 24 mois, ainsi que pour les béliers de réforme.

Cette situation résulte de la dégradation du pouvoir d’achat, des aléas climatiques, du manque de ressources fourragères et de la cherté des aliments.

Une stabilité relative des prix a été constatée pour les femelles, dont une grande partie n’est pas destinée à l’abattage, conformément à la réglementation en vigueur, excepté pour les brebis de réforme et les brebis non fertiles. Les prix des jeunes femelles (agnelles) et des antenaises sont restés relativement stables.

Cependant, pour les brebis, une légère hausse des prix a été relevée en décembre, notamment une augmentation de 7 % pour les brebis primipares, de 3 % pour les brebis multipares, et une hausse plus marquée de 10 % pour les brebis suitées.

Tendances et dynamique des prix du cheptel

L’analyse dynamique des prix du cheptel vivant sur les marchés à bestiaux durant ce quatrième trimestre 2024 a montré des tendances légères à la hausse, tant pour le cheptel bovin que pour le cheptel ovin, qu’il soit mâle ou femelle. Le cheptel caprin a également enregistré une légère hausse des prix.

Le niveau élevé des prix des produits sur le marché national reflète la synergie entre plusieurs facteurs : un marché interne libre immergé dans l’économie informelle, une forte demande générée par les catégories sociales à revenu élevé, et des spécificités du marché algérien (sacrifices rituels, forte demande durant le mois de Ramadan et les fêtes familiales estivales, ainsi que pour l’Aïd al-Adha où la demande sur les animaux vivants est importante).

À cela s’ajoute une faible élasticité de la production locale, conséquence d’une faible productivité zootechnique et du non-respect des normes de qualité dans l’élevage bovin et ovin depuis plusieurs années.

Ressources alimentaires cultivées pour le cheptel.

En ce qui concerne les ressources alimentaires cultivées, telles que les fourrages, l’orge ou les sousproduits récupérés comme les sons et les issues de meunerie, les prix ont enregistré des hausses significatives, notamment pour les produits subventionnés par l’État (orge, sons de blé, etc.).

Bien que l’orge soit très demandée par les éleveurs ovins et subventionnée, des perturbations au niveau de l’approvisionnement et de la distribution ont été constatées.

De nombreux éleveurs se plaignent des quotas insuffisants pour alimenter leurs cheptels. Cela soulève la question de la nécessité de supprimer les subventions et de laisser le marché libre, en gérant les prix selon la loi de l’offre et de la demande, à condition que le secteur public et privé garantissent la disponibilité de ces produits tout au long de l’année.

A. R.

Tags: Algériecommerceéconomieprixviandes rouges
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