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Selon de nombreuses études : Le groupe sanguin O protège contre le Covid-19 - ECOTIMES

Selon de nombreuses études : Le groupe sanguin O protège contre le Covid-19

On savait les membres du groupe sanguin O- donneurs universels, ils pourraient aussi avoir un avantage face à la pandémie de coronavirus.

Comme l’avait remarqué une première étude réalisée, en mars 2020, dans trois hôpitaux de Wuhan et Shenzhen, au cœur du foyer d’où avait émergé le Covid-19, le groupe sanguin O aurait un risque « significativement » moins élevé de contracter le virus. Sur les 2 173 patients atteints de SARS-CoV-2, les résultats ont montré que le groupe sanguin A était associé à un risque plus élevé de contracter le Covid-19 (+ 20 %), tandis que le groupe sanguin O était associé à un risque plus faible d’infection (-33 %).

Depuis cette toute première étude sur le lien entre groupe sanguin et positivité au coronavirus, de nombreux scientifiques ont travaillé sur le sujet au Danemark, aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne ou en Belgique. L’immunologue Jacques Le Pendu, directeur de recherche à l’Inserm et à l’université de Nantes, en compte « une quarantaine ».

Il y a quelques jours, avec d’autres spécialistes, il a pu publier dans la revue Viruses une étude mettant en relation les groupes sanguins et le Covid.

« 25 % de risque d’infection en moins pour le groupe O »

La principale conclusion de cette étude montre que les patients du groupe sanguin O sont mieux protégés face au Covid-19. Pour cela, ils se sont basés sur des milliers de données issues de nombreux pays.

«Le groupe sanguin O semble protecteur par rapport aux types non O », explique, dans sa conclusion, cette étude de chercheurs de l’Inserm et de l’université de Nantes (Loire-Atlantique).

«Toutes les études convergent, les personnes du groupe sanguin O sont moins susceptibles à une infection au coronavirus », confirme France Pirenne, directrice médicale de l’Établissement Français du Sang (EFS) en Île-de-France et professeure à l’université Paris-Est-Créteil. Avec son équipe, elle mène actuellement une étude en ce sens sur 300 patients.

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