ECOTIMES
Aucun résultat
Voir tous les résultats
samedi, 25 mars , 2023
  • Actualites
  • Economie & finances
    • Banques & finances
    • Industries
    • Energies
    • Agriculture
    • Produits & Services
    • Automobile
    • Hi-Tech
  • Entreprise
  • Régions
  • Monde
    • Afrique
    • Europe
    • Asie
    • Amérique
  • Interview
  • Analyses
  • Bourses
  • Archive
  • Contact
Editorial
ECOTIMES
  • Actualites
  • Economie & finances
    • Banques & finances
    • Industries
    • Energies
    • Agriculture
    • Produits & Services
    • Automobile
    • Hi-Tech
  • Entreprise
  • Régions
  • Monde
    • Afrique
    • Europe
    • Asie
    • Amérique
  • Interview
  • Analyses
  • Bourses
  • Archive
  • Contact
Aucun résultat
Voir tous les résultats
ECOTIMES
Aucun résultat
Voir tous les résultats
Accueil Analyses Chronique de Omar Aktouf

Se sortir du stupide piège économique néolibéral de la croissance infinie pour tous : De quelques réflexions et indications de pistes possibles

Par Eco Times
11 janvier 2022
Dans Chronique de Omar Aktouf
734
A A
0
Omar Aktouf

Omar Dr Aktouf, PhD

Professeur honoraire titulaire HEC Montréal.

2ème partie et fin

Modèle économique ou modèle de société ?

On le voit bien à tout ce qui précède : un des principaux obstacles,  et de loin, à tout véritable changement radical et rapide dans nos façons de conduire les « activités humaines » (essentiellement, évidemment économiques et gestionnaires) reste obstinément et profondément lié aux idéologies et doctrines – pour ne pas dires dogmes – dominants et régissant notre planète : tout ce qui est lié au néolibéralisme. Et nous savons à présent combien les variantes, ramifications, tentacules… en sont immenses ! Je ne pense pas avoir besoin de revenir ici sur les incommensurables dégâts et calamités engendrés par l’application de cette idéologie : depuis la non tenue en compte des gâchis engendrés tous azimuts par les « mesures » mêmes des dits progrès économiques et sociaux, depuis le PNB, jusqu’aux taux d’inflation, de croissance… J’ai déjà montré que, à la limite, on ne sait tout simplement pas de quoi on parle !

Mais les énormes intérêts en jeu, la « survie » de plus riches de ce monde, combinés à la suprématie quasiment devenue indiscutable des dogmes néolibéraux(28). Que ce soit milieux d’affaires, de finances, de politiques… d’éducation (néolibérale)…  Comment, devant l’alliance objective, désormais bétonnée, entre intellectuels, argent, politique, médias et divers soft powers qui en sont les émanations directes, penser une seconde que ce monde se résoudra au moindre changement qui ne soit pas que mots creux, langues de bois ? Ni nouveau paradigme(29) ni Projet de société préalable ne seront, hélas, à l’ordre du jour, tant que les dégâts ne seront pas au-delà de tout point de non-retour. Une des preuves en est le sempiternel couple sémantique brandi par la langue de bois dominante : 1/ Où est l’alternative au bon et sérieux capitalisme ? Et 2/ Le discours de « gauche » est « dépassé », il nécessiterait urgemment une profonde remise en question et une actualisation-mise à jour de ses thèses et théories ; thèses et théories par ailleurs « bien connues » pour être désormais fausses, caduques, démenties par l’Histoire…(30) ; il nécessite également une « révision drastique » des idées de ses fondateurs : que ce soit Rousseau, Owen, Hume, Proudhon, Marx, Engels…(31)

Enfin de quelques indications de pistes de solutions :

  • Ni changement de paradigme, ni projet de société préalable : alors quoi ?

Cela fait plus ou moins deux siècles ; depuis que la Bourgeoisie plus ou moins athée, et certainement bassement et obstinément matérialiste insatiable, a pris le dessus en Europe et mis en branle la dite « Révolution industrielle »(32) que peu à peu s’organisera, pour le plus grand « bien » du Capital, la mise sous exploitation aussi sauvage que létale de l’humain, le vivant et la Terre. Comment concevoir un ordre ou un modèle dit(33) « économique » sans en penser au préalable ce qu’on en attend !? Pire sans en admettre ni discuter les retombées mortifères dont il fait preuve, de surcroît chaque jour pires que ses dits « bienfaits » ? Reste donc la folie furieuse qui consiste en ces trois piliers de la pensée néolibérale dominante : 1- Accumuler l’argent pour l’argent peut tout : 2- la « technologie » issue de l’usage de cet argent sera toujours là pour tout résoudre.(34) et enfin et non des moindres : 3- Le beau et bon « Marché autorégulé » se charge de tout arranger partout, pourvu qu’on n’interfère en rien dans tout ce qu’il trame et réalise si savamment…(35)

  • La croissance organique différenciée du Club de Rome (une solution pour les pays émergents concomitante à un arrêt ou baisse de la croissance globale des nantis)

Il s’agit d’une des préconisations du Club de Rome lors de son premier Rapport dès 1972 : Halte à la croissance ! On la confond souvent avec l’idée de « croissance zéro » mais on va voir que cela est autre chose.Par « croissance organique différenciée » cette institution entendait le fait de (déjà à l’époque) faire abaisser les taux de croissance des pays riches, jusques et y compris les rendre négatives (moins de luxe, de surconsommation, d’accaparement de presque tout par les nantis) afin de les rendre positifs pour les moins nantis. C’est là la seule issue possible en vue, non pas d’un quelconque chimérique « rattrapage »(36), mais pour donner le temps à notre Terre de donner le minimum vital aux plus pauvres, tout en supprimant à mesure les insensés excès consuméristes des nantis, et les non moins insensés déséquilibres causés à la Nature.

  • Interventionnisme global et ajustement des termes de l’échange

On le sait, les termes de l’échange(37) ne cessent depuis toujours se dégrader au détriment des plus faibles et des moins nantis. Il faut chaque jour produire plus de biens et de services venant du tiers-monde(38) afin de se procurer ceux venant des pays riches. Ceci ne peut durer éternellement et finira par se retourner contre les riches eux-mêmes à cause des surexploitations exponentielles de « tout » que cela implique.

  • Une monnaie de la mondialisation autre que le dollar

C’est la délégation US aux négociations de Bretton Woods qui a imposé le dollar comme monnaie de fait de l’ensemble des transactions mondiales. Cela donne aujourd’hui UNE monnaie qui régit de fait les échanges  mondialisé : le Dollar US. Même avec l’arrivée d’autres monnaies d’échanges internationaux comme l’Euro, le Yen ou le Yuan… le fait que les USA contrôlent absolument « l’étalon pétrole » qui a succédé à l’étalon or, cela ne change pratiquement rien à la domination financière US. La solution serait, somme le voulaient les autres délégations, Anglaise en premier, une monnaie « mondialisée » neutre (On a proposé l’Unitas, ou le Franco…) sous contrôle par exemple d’une instance de l’ONU.(39)

  • Une application systématique de la Taxe dite Tobin

Proposée par le Nobel James Tobin en 1972 (mais en fait idée remontant à J.M. Keynes, ch. 12 de sa Théorie Générale…) cette idée consiste à proposer l’application d’une taxe (infime ! de l’ordre du 0,5 ou 1 à 2 %) aux transactions financières mondiales notamment boursières. A 0,5 ou 1 %, elle aurait pratiquement permis d’éradiquer la pauvreté à travers le monde depuis longtemps. En plus d’avoir moult effets positifs sur les épineuses questions de taux de changes, de contrôle des changes, de suivi des flux financiers, des traficotages des traders et banques… Hélas : trop beau pour être vrai ! On lui trouva des dizaines de « difficultés d’applications » et d’inconvénients. Et ce même si des milliers d’économistes à travers le monde ont signé pétitions sur pétitions, réclamant son application et prouvant ses bienfaits et facilités de mise en œuvre. Le seul pays (à part la Bolivie un temps dont on ne parle même pas) qui a tenté l’aventure a été la Suède. Mais hélas, et bien entendu, s’il n’y a qu’un seul pays qui le fait comme la Suède, il en récolterait toutes les retombées dévastatrices et aucun bénéfice ! C’est ce qui arriva à ce pays courageux, qui dû reculer devant l’évasion inexorable (trouvant refuge n’importe où ailleurs) de plus de 50 % de ses actifs financier, et la redirection des transactions vers tous les autres pays qui ne pratiquaient pas une telle mesure. Mission impossible pour un seul pays !

  • Une taxation sérieuse et systématique des profits des multinationales et des banques

Le bien timoré, pour ne pas dire insignifiant taux d’imposition des profits des multinationales de 15% décidé récemment suite à une initiative des USA (Joe Biden : un séisme pour la doxa de l’économie as usual), et de surcroît sans aucune rétroactivité ni pénalités (!) est absolument ridicule. Quand on sait que le dernier des travailleurs moyens du monde paye peu ou prou environ 50 % d’Impôts sur ce qu’il gagne, songer à un taux oscillant entre 40 et graduellement jusque 60 ou 70 % pour ces mammouths financiers, serait des plus élémentaires et raisonnables(40).

  • La « croissance zéro » : croissance selon l’évolution des besoins réels des sociétés, et selon ce que permettent les équilibres naturels, et non pas selon les désirs des patrons, actionnaires et investisseurs

Je me suis déjà assez largement exprimé (et m’exprimerai encore) – sous d’autres forme – de la nécessité de limiter les insensés profits « maximums » voulus par toutes les idéologies et doctrines dominantes liées au néolibéralisme(41). C’est la première fois je pense que j’y associe l’idée de « croissance zéro ». De façon relativement erronée beaucoup de gens attribuent cette idée uniquement au Club de Rome en son Rapport de 1972 (sans doute une confusion avec celle de croissance organique différenciée, ou celle de croissance déséquilibrée avancée dans ce rapport ). En fait il semblerait que la popularisation de cette idée serait due au très grand économiste, disciple de J. Schumpeter, J. K. Galbraith, mais la formule elle-même serait due à Alfred Sauvy en 1973. Il n’en demeure cependant pas moins, malgré toutes les critiques, y compris de la part de milieux tiers-mondistes qui lui ont été faites, c’est bel et bien la notion de Limits to growth élaborée par le Club de Rome qui en est l’origine principale. Je me contenterai pour le présent propos de juste en tracer les contours essentiels : il s’agit de tout simplement songer à des taux de croissance « équilibrés et stables » ou plutôt « stationnaires » au lieu de maximaux. En très simplifié et très bref cela voudrait dire penser une économie-management qui ne sont pas là pour faire le plus d’argent possible et enrichir au maximum patrons, dits « entrepreneurs », actionnaires et investisseurs de ce monde, mais qui ait pour objectif de suivre les rythmes d’évolutions réels des besoins dits économiques des humains(42), tout en respectant les équilibres naturels.

Une conclusion drastique : l’utopie ou la mort ?

Les lecteurs auront bien compris que la présente chronique est loin, très loin même, d’être un point quelconque d’achèvement de la réflexion entamée depuis la toute première. Avoir pour horizon social et économique, un désir continu de « produire pour produire », aveugle et insatiable, n’a évidemment aucun sens. Et cela, on le sait depuis longtemps… depuis Aristote, au moins. Mais une partie particulièrement avide, insatiable et aveuglément maximaliste de l’Humanité – l’Occident – semble s’être emballée dans cette folle course à la consommation – sur-destruction encore bien davantage, et même, avec des pseudos justifications censées être scientifiques, particulièrement depuis l’apogée de la Révolution industrielle. La présente chronique tente de donner quelques pistes de solutions – si nous n’avons pas déjà dépassé les points de retour – depuis longtemps connues et discutées au sein de certains cercles évidemment non écoutés et surtout non médiatisés, ni enseignés. Mais cet Occident s’entête et, même exporte tous azimuts ses létales méthodes, via une nouvelle forme de néocolonialisme des pays du tiers-monde : les filiales de multinationales, les investissements directs, les écoles d’économie néolibérale, les écoles dites de gestion ou de commerce, les MBA… Tout cela pousse comme champignons partout sur la planète. Bien entendu les effets délétères n’en sont que démultipliés. Et la fin qui nous guette à user sans sens ni conscience de ces théories et pratiques du super-productivisme stupide, « fin » dont tout un chacun peut deviner la teneur, s’approche à grande vitesse chaque jour. On m’a déjà maintes fois rétorqué ce qu’on a rétorqué il y a des années à un certain René Dumont(43) : « Tout cela c’est de l’utopie ! ». cela se produisit notamment  lors de sa célèbre apparition à la télévision française, brandissant un verre d’eau – en 1974 – et revenant une énième fois sur le caractère mortifère de l’économie-gestion capitaliste dominante, déclarant solennellement (en tant que candidat à la présidence Française) que « ce verre d’eau buvable qui semble si simple et évident à se procurer, finira par nous manquer dans des délais pas si éloignés ». Tout comme René Dumont je répondrai encore et encore, plus que jamais, à mes détracteurs et à mon tour : C’est l’utopie ou la mort !

Dans les prochaines chroniques, si les évènements de l’actualité ne m’amènent pas à me livrer à quelques digressions, nous reprendrons donc le fil de l’histoire et des (si nombreuses) diverses péripéties, étapes, circonstances, ramifications d’idées et des pratiques néolibérales.

////////////////////////

NOTES :

28- En fait pas si “nouveau que cela«  puisque les bases articulées et solides s’e trouvent déjà exposées dans les travaux et analyses des classiques, d’Aristote lui-même, des tiers-mondistes…

29- Ceci lorsque l’on ne brandi pas triomphalement le non moins sempiternel « échec définitif de ces idées avec la chute du Mur de Berlin, de l’Union Soviétique…)

30- Encore récemment, en congrès – webinaire, je dus pour la énième fois demander à un de ces inévitables perroquets de cette objection : « Pourquoi ne parlez-vous jamais de la nécessité de réformer les idées de A. Smith ? A. et L. Walras ? M. Friedmann ?… représentent-ils donc LA Vérité immuable pour les siècles des siècles !?. Sont-ils donc eux et leurs émules l’alpha et l’oméga de tout projet social et/ou économique ? ».

31- Dans mon livre La stratégie de l’autruche, je montre comment et pourquoi les quatre dites « Révolutions économiques » (Industrielle, Mécanisation, Robotisation, Information) ont toutes trahis les idéaux humanistes issus de la phase « romantique » de la Révolution de 1789 : Liberté, égalité, fraternité. Et ce plus que jamais de nos jours avec la cinquième, celle dite de l’Intelligence Artificielle, qui dans son appellation même est un oxymore inadmissible ! Ce sera l’objet de futures analyses.

32- En fait, ordre “Chrématistique”, au sens aristotélicien du mot, et qui en fait est l’antithèse totale de toute idée réellement « économique » ! (voir la stratégie de l’autruche).

33- C’est proprement croire au Père Noël ! Encore récemment, lors d’un webinaire international concernant les cas de l’Algérie et du tiers-monde, on me posa, pour la millième fois la plus absurde de toutes les questions en ces domaines : « SVP, dites-nous quel modèle économique pourrait-on appliquer pour développer nos pays ? » Pour la millième je répondis : « SVP : 1- donnez-moi une définition de ce que vous dénommer « développement«  ? Et 2- donnez-moi une idée du genre de pays et de société et de nature que vous désirez, afin que je puisse esquissez un modèle économique « qui irait avec », car un « modèle économique en soi n’a strictement aucun sens » !

34- Sauf pour venir au secours des riches, des banques, des bourses, des milieux d’affaires. Voir à ce sujet l’étonnant et combien révélateur extraordinaire The Roaring Nieteens (La grande désillusion) de Joseph Stiglitz.

35- La Terre ne saurait supporter ne serait qu’un seul autre pays au monde vivant au niveau des USA !

36- Comparatif de l’évolution des quantités (et donc valeur) de produits et services qui s’échangent entre pauvres et nantis, qui ne fait que se dégrader scandaleusement au profit des seconds. Ainsi par exemple, il fallait 14 sacs de café du Congo pour se procurer une Jeep américaine en 1959, environ 10 ans plus tard il fallait autour de 60 !!

37- Les “périphéries” de l’économie centrale occidentale comme les appelait Samir Amin. 

38- Par exemple, les pays de l’Afrique de l’Ouest toujours dépendants du Franc CFA (Colonies Françaises d’Afrique sic !), même si on lui a donné depuis quelques temps le nom de Eco… savent fort bien ce que signifie ne pas contrôler sa monnaie ! 

39- Vu ce que ces multinationales engrangent (87 % des bénéfices du commerce mondial se ferait strictement entre elles, leurs filiales… selon OXFAM), et ce qu’elles ont engrangé depuis pratiquement deux siècles ou plus pour les plus anciennes comme La Baie D’Hudson, Sears & Roebeck, Du Pont de Nemours… qui remontent aux 17ème – 18ème siècles ! 

40- Ainsi par exemple, j’ai déjà montré comment « le profit » est en fait une cinquième ou une sixième façon dont les Capital s’autorémunère. Ce qui mets à bas, évidemment, les sempiternelles affirmations que « sans les profits », l’économie s’effondrerait par fautes de capacités d’investissements, R $ D… etc.,

41- D’abord besoins les besoins incompressibles, puis indispensables, puis essentiels, puis secondaires… Surtout pas une économie-gestion qui est là afin de produire pour produire ! Aveuglément, insatiablement.

42- Notoire précurseur des idées écologistes étayées par de solides connaissances agroéconomiques, auteur du fameux l’Afrique est mal partie dès après les indépendances africaines, pour signifier qu’il n’y aura rien de bon à imiter les folies « industrialisantes » occidentales. 

partager296Tweeter185partager52

Publications associées

COVID-19 : le énième fruit amer de l’ordre économique néolibéral et l’hallucinante mauvaise foi du monde de l’économie-gestion
Chronique de Omar Aktouf

«Loi du profit», éducation et «lois du marché néolibéral» : Absurdes tautologies et mortifères «dogmes – syllogismes»

15 août 2022
757
Omar Aktouf
Chronique de Omar Aktouf

Se sortir du stupide piège économique néolibéral de la croissance infinie pour tous : De quelques réflexions et indications de pistes possibles

10 janvier 2022
718
Omar Aktouf
Chronique de Omar Aktouf

Sauver la planète – et l’espèce humaine – partie II : Stop aux faux fuyants autour des saccages de la sempiternelle « croissance » !

24 octobre 2021
713
Omar Aktouf
Chronique de Omar Aktouf

Omar Dr Aktouf, PhD, Professeur Titulaire-Honoraire HEC Montréal (Canada) : Adam Smith avait prévenu que «la « stupidité  » pouvait facilement gagner les « masses »»

18 septembre 2021
799
Charger plus
0 0 votes
Évaluation de l'article
S’abonner
Connexion
Notifier de
guest
guest
0 Commentaires
Inline Feedbacks
Afficher tous les commentaires

Articles récents

  • Distribution des viandes rouges importées à des prix plafonnés: ALVIAR signe des conventions avec 12 sociétés
  • De gros moyens mobilisés par l’Etat: Le Ramadhan s’annonce sous de bons auspices
  • Sonatrach: Hakkar réitère les engagements de la Sonatrach pour l’Afrique
  • Un arrivage de 30 000 tonnes de viande rouge à 1200 DA/kg pour le Ramadhan: L’Etat inonde le marché
  • Transition vers l’économie verte: Une aubaine pour l’entreprise algérienne
  • Numérisation et digitalisation: La Chine propose son expertise à l’Algérie
  • Le groupe Stellantis présente son projet industriel: « Bientôt des Fiat made in Algéria »
  • E-commerce alimentaire: Impact sur la sécurité alimentaire et la vente traditionnelle
  • 4,8 milliards de DA mobilisés pour la recherche minière : L’Algérie veut exploiter ses gisements 
  • Remaniement au sein de la plupart des portefeuilles économiques: Le message du Président
Facebook Twitter LinkedIn Instagram

Actualites recentes

Importation de viande rouge durant le Ramadhan : La mesure diversement appréciée

Distribution des viandes rouges importées à des prix plafonnés: ALVIAR signe des conventions avec 12 sociétés

23 mars 2023
Emploi précaire des jeunes : La pandémie accentue la paupérisation !

De gros moyens mobilisés par l’Etat: Le Ramadhan s’annonce sous de bons auspices

23 mars 2023

Catégories

  • Actualité
  • Afrique
  • Agriculture
  • Amérique
  • Analyses
  • Asie
  • Automobile
  • Bourses
  • Chronique de Lies Hamidi
  • Chronique de Omar Aktouf
  • Coin Livresque
  • Commentaire
  • Commerce
  • Consommation
  • Diaspora
  • Economie & finances
  • Editorial
  • Energies
  • Entreprise
  • Environnement
  • Europe
  • Finances
  • Flash-Info
  • Habitat
  • Hi-Tech
  • Industries
  • Interview
  • Investissement
  • Les analyses d'Ali MEBROUKINE
  • Medias
  • Monde
  • Partenariat
  • Pèche
  • Produits & Services
  • Régions
  • Santé
  • Tourisme
  • Transports
  • Université

Site Navigation

  • Accueil
  • Contact
  • Actualites

suivez-nous

© 2021 ECO TIMES -Quotidien Algérien de l'économie .

Aucun résultat
Voir tous les résultats
  • Actualites
  • Economie & finances
    • Banques & finances
    • Industries
    • Energies
    • Agriculture
    • Produits & Services
    • Automobile
    • Hi-Tech
  • Entreprise
  • Régions
  • Monde
    • Afrique
    • Europe
    • Asie
    • Amérique
  • Interview
  • Analyses
  • Bourses
  • Editorial
  • Archive
  • Contact

© 2021 ECO TIMES -Quotidien Algérien de l'économie .

Bon retour!

Connectez-vous à votre compte ci-dessous

Mot de passe oublié?

Retrieve your password

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre adresse e-mail pour réinitialiser votre mot de passe.

S'identifier
wpDiscuz
0
0
Nous adorerons vos pensées, veuillez commenter.x
()
x
| Répondre