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L’Algérie, pays continent doit s’ouvrir au tourisme : Le tourisme domestique

Par Eco Times
18 mai 2021
Dans Analyses, Tourisme
742
A A
Nomination de 10 directeurs dans le secteur du Tourisme : Tebboune au chevet du secteur

Sixième partie

Le Tourisme domestique doit être une ressource pour le secteur en particulier et l’économie nationale en général. Avec son atypisme, sa détermination Algérienne, Africaine et Méditerranéenne, la côte Algérienne est tout à la fois décriée et enviée dans sa réussite à marier la tradition et la modernité.

Par Boubekeur Abid,

Expert et Ex-Cadre du Tourisme

C’est en quelque sorte un ancrage qui, tout en nous contant l’histoire de nos belles régions, avec ses habillements traditionnels, son passé, sa jeunesse et sa richesse culturelle, nous rappelle à ses origines, mais aussi à son avenir indissociable depuis toujours de celui de l’Algérie «El Mahroussa». Ainsi, à l’heure où les nostalgiques, revivent dès leur arrivée sur cette terre, ou la beauté d’une partie de sa côte méditerranéenne, le paysage d’une région qu’ils ont quitté, un village historique haut perché sur une chaine montagneuse ne trouve plus le sommeil.

El Bahdja, El Mahroussa, peu importe son nom dans l’histoire,   celle-ci s’enorgueillit de porter l’empreinte de ses origines    remontant à plusieurs siècles en arrière. Notre Algérie est en fait une carte maîtresse entre les mains de ces responsables à tous les niveaux et son peuple, dans la perspective du développement touristique. Depuis des années, on parle de promouvoir la destination Algérie, mais bon an, mal an, nous attirons que très peu de touristes étrangers. La question qui se pose et se posera toujours est la suivante:

Qu’est-ce qui empêche le décollage de ce secteur qu’on peut qualifier d’industrie Touristique au vu de toutes ses potentialités et de l’argent injecté par les pouvoirs publics?

Cette destination touristique longtemps vantée reste peu attractive, l’Algérie cherche toujours à attirer les touristes étrangers qui, eux, pourtant lui préfèrent ses belles voisines accueillantes. Un petit effort de nos chers compatriotes qui traversent en été les belles régions (Don de Dieu) avant de rejoindre notre voisine de l’EST la Tunisie pour un bon bronzage, peuvent contribuer largement au développement de notre tourisme interne.

Ils auraient ainsi la capacité de faire marcher les économies locales grâce à leurs dépenses, pour assurer l’emploi et la stabilité aux jeunes diplômés de ces régions qui recèlent pourtant d’importantes potentialités économiques en attente d’exploitation. Il est temps de penser à maintenir nos jeunes sur place, et de créer des emplois pour éviter l’exode rural et l’émigration clandestine qui fait tant de mal à nos familles.

Cela pour illustrer le retard enregistré en matière de développement local, un point que les différents intervenants pour ce secteur n’ont pas manqué de rappeler à maintes reprises, notamment par la nécessité de rassembler les efforts pour assurer une intégration entre les métiers existants et les potentialités des régions. L’idée de s’organiser en réseau ou autres, regroupant les cadres et la diaspora, afin de rechercher une issue à cette oisiveté économique a été souvent soulevée en marge des différentes rencontres, séminaires et assises organisés par les pouvoirs publics.

En attendant, ce ne sont pas les propositions qui manquent, même si les avis divergent sur les moyens de faire sortir notre tourisme de sa léthargie, l’on s’accorde à dire que le plus important est de compter sur la ressource humaine.

1. LA MANNE DU TOURISME DOMESTIQUE

Notre communauté Algérienne à l’étranger, nos compatriotes et les binationaux peuvent-ils être des alternatives réelles aux touristes   étrangers pour un début? Actuellement, la segmentation et la typologie touristique de notre pays se définit par, essentiellement trois segments importants:

• Le tourisme domestique,

• Le tourisme de la communauté nationale ou binationale établie à l’étranger,

• Le tourisme corporatif ou d’affaires.

Nous pensons que nous devons bien évidemment répondre aux demandes et aux besoins de ces typologies de clientèle en essayant d’augmenter les différents potentiels que renferme notre pays. D’autres gisements de flux touristiques, à l’instar du tourisme thermal, culturel, cultuel, archéologique, saharien, balnéaire, chasse et pêche, etc. sont à développer.

 Le trésor d’El Mahroussa «EL DJAZAIR», ce sont ses hommes et ses femmes

A cet effet, nous nous adressons à ces pouvoirs publics pour qu’ils réfléchissent rapidement et sérieusement sur cette manne qui profite à notre voisine, par l’élaboration d’une stratégie réfléchie sur le moyen et long terme. Dans une conjoncture économique fortement défavorable, marquée par une baisse des recettes des hydrocarbures, le tourisme peut être l’un des secteurs à se substituer aux ressources naturelles.

On ne peut pas dire que rien n’a été fait, loin de là, on sait que des Milliards ont été alloués aux Groupe H.T.T pour la réhabilitation des structures hôtelières, des facilités accordés aux supposés investissements étrangers, des chants de sirènes sur le développement des Zones d’expansion touristique, tous ces efforts déployées par les pouvoirs publics, n’ont que très peu changé la donne. Si le grand salut tant attendu pour ce secteur stratégique ne peut pas venir des visiteurs étrangers, il pourrait toutefois venir des Algériens eux-mêmes en développant «Un Esprit Patriotique & Nationaliste» pour une consommation interne «siyaha fi bladi».

Néanmoins, les pouvoirs publics et nos responsables des structures hôtelières à différents échelons hiérarchiques, doivent savoir que ces Algériens voudraient bien valoriser le tourisme dans leur pays par patriotisme et nationalisme, pour peu qu’on arrête de les prendre pour des pigeons et de les arnaquer.

Au-delà du type de tourisme, ce sont surtout les Algériens eux-mêmes qui représentent la plus grande proportion de touristes en Algérie. Qu’ils soient issus de la communauté Algérienne à l’étranger ou surtout résidents dans le pays, ils sont la principale source de revenus touristiques.

Cette catégorie de touristes a bien des spécificités par rapport à des visiteurs étrangers, que ce soit sur la qualité du produit, le prix, les moyens de distribution ou la politique de communication qui l’accompagne, tels que: l’Hébergement, la formule famille pour le transport, la sensibilité aux messages nostalgiques influent beaucoup sur les choix de ces Algériens.

Nous avons toujours soutenu qu’il ne peut pas y avoir de conquête touristique des marchés extérieurs, sans la sensibilisation de l’environnement à la mentalité touristique et sans un minimum de connaissance de l’Algérie par les Algériens eux-mêmes. Les placards publicitaires de nos professionnels vantant les charmes d’ailleurs sont assez significatifs de l’indigence de nos esprits, de la faiblesse de nos idées et de la recherche de la facilité dans l’action et l’entreprise.

Nos établissements hôteliers, sont occupés à longueur de période estivale ou les nuitées doublent de tarif, pendant que le service reste le même. Et c’est toujours la loi de l’offre et de la demande qu’on balance pour donner plus d’arguments à ces prix de chambre d’hôtel qu’on fait flamber, c’est la haute saison, souffle-t-on pour justifier cet excès.

Pour arriver à cibler ce segment de clientèle, l’hôtelier professionnel doit réfléchir à un bon rapport Qualité/Prix, en d’autres termes, en avoir pour son argent semble être l’exigence principale pour maintenir en Algérie la manne financière de ces touristes tant convoités par nos voisines. Habitués à cette réalité amère, les Algériens et Algériennes ont d’autres soucis quand il s’agit de faire du tourisme dans leur propre pays, et c’est souvent le rapport Qualité/Prix qui dérange. Ils ont le sentiment d’être arnaqués dans leur propre pays, à la différence de notre voisine de l’EST la Tunisie, par sa maitrise de ce secteur (économie oblige), ou elle maitrise l’ART de leur dérouler le tapis rouge.

Le problème pour cette clientèle, ce n’est pas tant le montant à payer pour un bon séjour balnéaire, mais plutôt la qualité de services que vous avez en contrepartie de votre argent. Si on devait analyser les chiffres de ces dernières années et les comparer avec nos voisins qui n’ont pas les mêmes atouts naturels, historiques et culturels, on peut dire que le secteur du tourisme en Algérie n’est pas bien exploité au regard de ses potentialités.

Nos voisins immédiats ont, eux, intégré dans leur stratégie économique depuis très longtemps, le tourisme comme une véritable priorité nationale. Ils ont privilégié un tourisme de masse avec un accès sans contrainte envers les flux d’investissements étrangers et touristiques.

A la différence de nous, notre approche pour le secteur du tourisme n’a jamais été une priorité de développement économique par les pouvoirs publics.

Pour cela, la nouvelle gouvernance souhaitée par les pouvoirs publics, doit conforter logiquement, à notre connaissance, la place du secteur du tourisme comme un vecteur essentiel de développement stratégique et prioritaire pour l’économie nationale en général et l’économie locale en particulier.

Un nouveau discours peut augurer de perspectives intéressantes pour un secteur pourvoyeur de richesses, de valeur ajoutée, de plus-values économiques et d’emplois pour notre pays. La valorisation de la destination ALGERIE, l’amélioration de la qualité des prestations touristiques, le renforcement du financement et de la formation, la mise en valeur des pôles d’excellence par des investissements réfléchis, sont des axes stratégiques dynamiques qui doivent être pris en charge.

A nous, tous ensemble, de conjuguer nos efforts pour bâtir une vraie politique touristique à même de promouvoir l’Algérie comme une véritable destination. A nous cadres et travailleurs patriotes pour cette nouvelle république, de trouver les moyens spécifiques pour développer un tourisme alternatif, différent, basé sur l’authenticité et les valeurs.

Notre pays ne manque ni de moyens financiers, ni de ressources, ni de volonté ; toutefois, une véritable stratégie touristique sur le long terme, impliquant l’ensemble des intervenants, acteurs et professionnels, en liaison permanente avec les pouvoirs publics, peut se traduire par des mesures stimulantes et mobilisatrices, capables de dynamiser et de donner une nouvelle impulsion à ce secteur d’activité qu’on doit considérer comme une véritable industrie influente sur le PIB.

Cependant, au vue de notre expérience, la complexité du secteur ne peut se développer en vase clos, le tourisme est une culture, un état d’esprit, des modes de fonctionnement, de tolérance et de modernité qui doivent s’enraciner dans le vécu quotidien avec des ramifications dans tous les pans de la société, notamment dans l’éducation de nos enfants, en quelque sorte développer une vraie «Tradition Touristique» propre à notre pays qui nous fait défaut  jusqu’à maintenant.

Il faut libérer les initiatives

Il faut se lancer dans le tourisme populaire avec la création de camps familiaux sur le littoral ou existe du foncier touristique dans les communes. Pour le tourisme haut de gamme, il est nécessaire de libérer les initiatives d’investissement, et terminer les études des ZET pour permettre l’investissement. Dame nature a tout donné, ne laissant rien au hasard, elle a doté nos régions de tout ce qu’il y a de plus beau.

A part ce miracle de la nature, l’homme n’a pas laissé son empreinte. Pour séjourner en bord de mer, il n’y a que la plage et rien de plus. Pendant que les campings sont fermés ou inexistants le long de la cote. En ville balnéaire, les établissements hôteliers, non classés et de modeste standing, sont occupés à longueur de la période estivale. Les nuitées doublent de tarif, pendant que le service reste le même.

Et c’est toujours la loi de l’offre et de la demande qu’on balance pour donner plus d’arguments à ces prix de chambre d’hôtel qu’on fait flamber. «C’est la haute saison», souffle-t-on pour justifier cet excès. Depuis quelques années, c’est le logement chez l’habitant, une nouvelle formule de location d’appartement, qui est privilégiée.

En ville, dans ses alentours et dans les autres communes des wilayates balnéaires, les numéros de téléphone sont partout inscrits sur les poteaux électriques, sur les murs et les façades, pour proposer des maisons et des appartements à louer. Si une forte demande se fait de plus en plus sentir sur ce mode de location, c’est tout simplement parce qu’il y a un impressionnant afflux des estivants. Les visiteurs viennent de partout, ils affluent par convois.

2. LA CAPACITE D’ACCUEIL

L’augmentation de la capacité d’accueil d’un pays et la diversification des moyens d’hébergement est une des conditions de développement du tourisme. Les structures de l’hébergement varient beaucoup d’un pays à l’autre selon l’ancienneté du tourisme, le niveau de développement et les traditions nationales. Le secteur des hébergements constitue l’une des bases essentielles de l’industrie du tourisme, c’est le moteur de l’investissement touristique.

Plusieurs critères de classification des structures d’hébergement touristique peuvent être utilisés:

 Hébergement bâti ou non bâti: c’est-à-dire hôtel, résidence secondaire, centre de loisir ou camping, caravaning, croisières ;

 Hébergement individuel ou collectif: résidence secondaire ou village de vacance ;

 Hébergement à but lucratif ou non lucratif: hôtellerie ou colonie de vacances, village vacances famille.

Par ailleurs, l’évolution spectaculaire constatée de la demande et l’accroissement de l’offre dans le domaine touristique, exigent plus que jamais des ressources humaines aussi bien en quantité qu’en qualité. L’accent doit être mis sur le professionnalisme, la normalisation et le développement de nouvelles qualifications en adéquation avec le développement des nouvelles technologies.

La valorisation des ressources humaines dans le secteur du tourisme contribue à améliorer non seulement la compétitivité, mais permet aussi un meilleur positionnement sur le marché national et international, où la concurrence demeure très rude. Il faut enrichir la nomenclature des métiers, y ajouter de nouvelles spécialités pour la promotion et la commercialisation de l’image et de la destination Algérie, et permettre aux diplômés de maîtriser au moins Trois langues. Il ne faut pas que les étudiants restent dans des stages théoriques, dans des instituts fermés, il faut que ceux du nord visitent le Sud et ceux du Sud visitent le Nord.

3. L’E-TOURISME

Les TIC sont en train d’agir sur le comportement des consommateurs des produits et services touristiques. Des mutations auxquelles le secteur du tourisme est appelé à s’adapter. Les TIC offrent au secteur du tourisme une opportunité pour un développement plus rapide.

On trouve aujourd’hui une technologie grandement simplifiée, plus flexible et peu coûteuse, qui favorise l’interactivité. Une panoplie de nouveaux sites et fonctionnalités permet aux internautes de plonger dans la philosophie participative du Web et d’assumer un niveau de contrôle qu’ils n’avaient pas auparavant. Tous ces bouleversements nous font prendre conscience à quel point Internet et l’industrie du voyage se rapprochent de ce que nous pourrions qualifier d’un «mariage parfait». Cela se confirme par le fait qu’une majorité de voyageurs utilisent maintenant Internet pour planifier    et réserver leurs voyages. Le consommateur y est de plus en plus à l’aise et le sentiment de confiance remplace rapidement celui de méfiance.

Les TIC sont l’un des outils les plus efficaces permettant aux autorités publiques et aux entreprises touristiques de s’occuper de l’organisation et de la promotion de leur tourisme, d’encourager l’adoption des pratiques du commerce électronique parmi les prestataires de services touristiques nationaux et d’améliorer leur compétitivité sur les marchés du tourisme. Les progrès technologiques et notamment la disponibilité du haut débit facilitent en outre, considérablement, l’accès aux informations, tout comme l’apparition de nouveaux outils en ligne, dont les vidéos, les cartes interactives et les visites virtuelles.

Le numérique continue de progresser dans la pratique touristique, mais s’oriente vers un usage mobile, social, multimédia et en séjour. Dans la démultiplication des offres, sur des supports de plus en plus efficaces, l’usager est en demande du vrai conseil et d’accompagnement. Les sites de destination deviennent attractifs et progressent.

La connexion Wifi devient primordiale et influence l’acte d’achat d’un séjour. D’autre part, il faut savoir que Facebook impacte l’acte touristique. C’est un outil de communication direct et d’influence avec les proches, il s’ancre dans les habitudes des usagers. Il prolonge l’émotion du voyage. Après être rentrés de vacances, de plus en plus de voyageurs prennent le temps d’écrire et de laisser un avis sur les réseaux sociaux à propos de leur séjour.

Aujourd’hui, les voyageurs partagent les souvenirs de leurs vacances avec leurs amis et famille instantanément et directement sur Internet. Ces activités génèrent un flot de données de plus en plus important, qui arrive à une allure beaucoup plus rapide que celle des données traditionnelles. Pour en tirer parti, les entreprises touristiques doivent apprendre à les capturer et les décrypter.

Les TIC offrent au secteur du tourisme une opportunité pour un développement plus consommateurs des produits et services touristiques. Des mutations auxquelles le secteur du tourisme est appelé rapide. Atteindre le client potentiel à tout instant et à tout moment avec le maximum d’informations est aujourd’hui possible. Le Smartphone comme moyen de communication permet      d’atteindre plus facilement la clientèle potentielle. Il permet aussi, à travers des applications, de développer d’autres produits et services à même de rehausser la qualité. On ne peut pas imaginer en 2021 une agence de voyages ne possédant pas un site et/ou une adresse web.

Un site web n’est pas une enseigne lumineuse, ni une finalité en soi. Une agence de voyages est une entité économique. A elle de saisir l’opportunité qui se présente à elle à travers les TIC pour développer son marché, à court terme, et rester en vie à moyen   terme. L’enjeu n’est pas d’obliger les agences de voyages à créer des sites web, mais de les motiver à se développer en ligne. Au moment où les offices de tourisme étrangers mettent en place des applications pour que vous puissiez recevoir régulièrement des informations ; chez nous, les 48 directions de tourisme de wilayas ne disposent même pas de portails ! L’E-Tourisme est encore négligé en Algérie aujourd’hui.

Concrètement, l’Algérie doit soigner son image. L’Algérie est la dernière destination touristique dans le Maghreb, pourtant elle est la première région à grands potentiels touristiques parmi les pays maghrébin, cependant un long chemin reste à faire.

Voyons le cas d’ACCOR HÔTELS pour comprendre l’évolution des TIC dans le monde.

Lire la suite dans notre prochaine édition

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