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Gazoduc transsaharien «Le projet algérien est réel, les autres sont fictifs» - ECOTIMES

Gazoduc transsaharien «Le projet algérien est réel, les autres sont fictifs»

Gazoduc transsaharien «Le projet algérien est réel, les autres sont fictifs»

Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, s’est exprimé, samedi soir, sur le projet Gazoduc transsaharien reliant trois pays (Nigeria, Niger et l’Algérie).

Le qualifiant de réel, Tebboune a affirmé que «le travail se poursuit et il ne reste plus que 700 à 800 Km à parachever sur les 4000 km du projet», rappelant, à cet égard, «l’accord établi concernant ce projet» entre les pays concernés, à savoir l’Algérie, le Niger et le Nigeria. Il ne reste que la partie nigérienne.

Des pourparlers sont en cours afin de trouver un mécanisme pour la réalisation de ce tracé au Niger, notamment l’aspect du financement.

Lors d’une visite du ministre du pétrole du Niger la semaine dernière à Alger, ce responsable a réitéré la volonté de son pays à renforcer la coopération avec l’Algérie dans le domaine énergétique et le parachèvement du projet du Gazoduc.

D’ailleurs, une réunion tripartite est annoncée pour les prochaines semaines pour finaliser cet important projet permettant l’exportation de près de 30 milliards m3 vers l’Europe avec tous ses retombées positifs sur le développement socioéconomiques des trois pays.

Face à ce «projet économique», le chef de l’Etat a noté qu’il y a «un projet politique fictif devant traverser 14 pays, dont les territoires sahraouis occupés, et nécessitant des dizaines de milliards», a-t-il dit, précisant que les analystes intègres dans le domaine de l’énergie «savent séparer le bon grain de l’ivraie».

La page du BRICS tournée

Quant à la décision de l’Algérie de tourner la page de l’adhésion aux BRICS, le président de la République a dit : « Nous ne songeons pas à rejoindre les BRICS+, notre attention se porte sur notre adhésion à la Banque des BRICS, qui n’est pas de moindre importance que la Banque mondiale».

Il a fait état de l’approbation par cette institution financière (Nouvelle banque de développement) de l’adhésion de l’Algérie en tant qu’actionnaire dans son capital à hauteur de 1,5 milliard de dollars par étapes, soulignant que cette adhésion « renforce le rôle de l’Algérie en tant que pays émergent ».

A. R.

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