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Accueil Analyses

Cinq raisons du processus inflationniste : Quel impact sur le pouvoir d’achat?

Par Eco Times
21 septembre 2021
Dans Analyses
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La problématique de la finance islamique comme moyen d’intégration du capital-argent de la sphère informelle : Eviter les utopies

 S’agissant d’un problème aussi complexe que celui de l’inflation, il me semble utile de préciser qu’une analyse objective doit tenir compte de la structure et des particularités de l’économie à laquelle ils sont appliqués, les aspects de structures de l’économie internationale, de l’économie interne résultant de l’option de la stratégie de développement économique, aux schémas de consommation générés en son sein pour des raisons historiques, d’influences socioculturelles et aux composantes des différentes forces sociales pour s’approprier une fraction du revenu national.

Par Abderrahmane Mebtoul, Professeur des universités, expert international Docteur d’Etat 

Le taux d’inflation cumulé entre 2000/2021  qui n’ a pas été  réactualisé depuis 2011, approche les 100% entre 2000/2021 et on peut pondérer aisément à 50%, donnant une  détérioration du pouvoir d’achat d’environ 150%  durant cette période. Nous assistons à  une  concentration excessive du revenu national au profit d’une minorité rentière où, fait nouveau, une partie de la classe moyenne commence à disparaître graduellement et à rejoindre la classe pauvre.  L’action louable au profit des zones d’ombre serait un épiphénomène face à la détérioration du pouvoir d’achat de la majorité de la société et  on peut se demander comment un ménage  avec  entre 30.000/50.000 dinars  peut-il survivre,  surtout s’il vit  seul en dehors de la cellule familiale qui, par le passé, grâce au revenu familial, servait de tampon social ? Mais attention à la vision populiste :  doubler ou tripler les salaires sans contreparties productives entraîne une dérive inflationniste, un taux supérieur à 20%  qui pénalise surtout les couches les plus  défavorisées, l‘inflation jouant comme redistribution au profit des revenus spéculatifs. La condition sine qua non de   la sécurité du pays étant posée, s’impose  une nouvelle gouvernance (la moralité des dirigeants), en évitant un nivellement par  le bas, vison populiste suicidaire,  en paupérisant les  couches moyennes, fondement de tout processus de développement, nécessitant  un large front social et un sacrifice partagé, afin de  freiner la détérioration du pouvoir d’achat  qui risqu de provoquer d’importants remous sociaux, voire, la déstabilisation du pays, Les tensions sociales, tant qu’il y a la rente, sont atténuées artificiellement grâce aux recettes des hydrocarbures qui permettent des subventions et transferts sociaux représentant 23,7% du budget général de l’Etat et 9,4% du PIB pour l’exercice 2021, mais mal gérés et mal ciblés, qui ne profitent pas aux plus démunis.  Dossier politique éminemment sensible  avec des impacts socio-économiques, la mise en place de subventions ciblées suppose, à la fois, un système d’information fiable posant la difficulté de l’intégration de la sphère informelle (revenus informels) et une large concertation sociale pour éviter des remous sociaux qui ont des incidences politiques et sécuritaires. Quant aux caisses de retraites, véritable bombe à retardement,  pour 2020,  les perceptions  ont atteint les 762 milliards de dinars et  les dépenses dépassent les 1.400 milliards DA, avec un  déficit observé de l’ordre  de 640 milliards DA avec une prévision de 700 milliards de dinars  2021. Pour environ  3,3 millions de retraités fin 2020, et le ratio de nombre de travailleurs cotisants pour un retraité est actuellement à 2/1 alors que le norme pour garantir la viabilité d’un système de retraite est d’au moins cinq actifs cotisants pour un retraité.

Dans cette conjoncture difficile de tensions géostratégiques, budgétaires et sociales, il y a urgence d’une nouvelle gouvernance. Et pour éviter des débats stériles, nous devant avoir un diagnostic serein pour proposer  de bonnes solutions. Comme toutes les actions qui ont un résultat très mitigé, malgré des dépenses et la mobilisation de la ressource humaine pour drainer le capital-argent de la  sphère informelle, malgré tout un tapage publicitaire, l’argent capté  à travers la finance islamique selon les données   du Premier ministre  devant le parlement, s’est ditinguée par le nombre de comptes bancaires ouverts depuis le lancement des produits de la finance islamique, de  15.000 comptes à pour un montant dérisoire  de 10 milliards de dinars (0,1%) sur un montant global de plus de 6140,7 milliards de dinars en 2020 selon les  données de la banque d’Algérie, le président de la République ayant annoncé faute d’un système d’informations fiables  entre 6000 et 10.000 milliards de dinars.    Pour l’Algérie,  l’important est de mettre en place des mécanismes pour que  les  pratiques de corruption,  de mauvaise gestion qui menacent la sécurité nationale ne se reproduisent plus. Car   selon le rapport du premier ministère en date du 01 janvier 2021, repris par  l’APS, durant les  30 dernières années, l’assainissement des entreprises publiques a nécessité environ 25 milliards de dollars dont plus de 80% sont revenues à la case de départ  et entre 2005/2020, la réévaluation des projets a coûté plus de 8900 milliards de dinars,   soit au cours moyen de 130 dinars soit, un dollar. Le montant faramineux de 68,5 milliards de dollars, chiffre avancé par le Premier ministre, ministre des Finances, qui répondait aux questions des députés de l’APN dans le cadre du débat du Plan d’action démontre une non maîtrise dans la  conduite des projets : mauvaise gestion et corruption. Cependant,  il ne faut pas  confondre acte de gestion (de tout manager  prenant des risques, pouvant gagner ou perdre, impliquant la dépénalisation des actes de gestion) et corruption

Incidences sur le pouvoir d’achat

 Je recense  cinq raisons du processus inflationniste qui a un impact sur le pouvoir d’achat (voir notre interview au quotidien gouvernemental AL Massa 19/09/2021).

Premièrement,   la faiblesse de la gouvernance, l’absence de mécanismes de régulation d’ensemble, la responsabilité ne relevant pas seulement du ministère du Commerce, les actions punitives étant limitées, les lois économiques étant insensibles au slogans politiques, processus accéléré  par le manque de coordination entre certains ministères.  Deuxièmement,  la faiblesse du taux de croissance, résultant de la faiblesse de la production et de la productivité, l’Algérie selon le rapport de l’OCDE dépensant deux fois plus pour avoir deux fois moins d’impacts,  en référence aux pays similaires.  Sur les  2,9 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures annoncées par le ministère du Commerce, sans analyser la structure, les produits manufacturés  et alimentaires, dont le sucre,  représentent pour les huit premiers mois  2021, environ  600 millions de dollars,  80% étant des dérivées d’hydrocarbures et des produits semi-finis   devant, pour avoir la balance devises nette pour l’Algérie, soustraire les matières premières importées en devises et les exonérations fiscales. Cela   découle de la non-proportionnalité entre les dépenses monétaires et leur impact renvoyant à la corruption via les surfacturations; pour exemple une entrée en devises de plus de 1000 milliards de dollars entre 2000/2019 et une importation de biens et services d‘environ 935 milliards de dollars pour une croissance dérisoire,  en moyenne annuelle, de 2/3% alors qu’elle aurait dû dépasser  9/10% et pour 2020,  une sortie de devises de 20 milliards de dollars  pour une croissance négative de moins 6%, espérant 3% pour 2021.  Or, un  taux de croissance se calcule par rapport à la période précédente ; ainsi 3% rapporté à un taux négatif de 6% donne entre 0-1%, largement inférieur à la pression démographique, plus de 44 millions d’habitants au 01 janvier 2021,  où il faut, pour réduire les tension sociales, créer 350.000/400.000 emplois  productifs par  an, non des emplois rente,  qui s‘ajoutent au taux de chômage actuel. L’amélioration du solde de la balance commerciale  n’est pas significative  dans cette conjoncture actuelle, car on  ne peut tout restreindre, quitte à étouffer tout l’appareil productif, qui selon les  organisations patronales, fonctionne à peine à 50%  quitte à aller vers une implosion sociale, avec un taux de chômage qui avoisine les 15% en 2021, mais beaucoup plus élevé si l’on pondère par les emplois improductifs et touchant  particulièrement les diplômés.  En cas de baisse drastique des réserves de change, entre 10/15 milliards de dollars,  contre  48 milliards  de dollars fin 2020, 44 entre avril/mai 2021 et 194 milliards de dollars le 01 janvier 2014 qui tiennent la cotation du dinar algérien à plus de 70%, la Banque d’Algérie sera contrainte de dévaluer le dinar officiel à environ 200/220 dinars un euro, avec une envolée du cours sur le marché parallèle qui fluctue en fonction du taux d’inflation d’environ 300 dinars un euro minimum. 

Impact de la dévaluation du dinar

Troisièmement, la dévaluation du dinar qui influe sur le  prix international des produits importés finis,  semi finis et équipements, 85 % des matières premières  des entreprises publiques et privées étant importées, le taux d’intégration ne dépassant pas 15%. Le prix final au consommateur est amplifié par la  dévaluation drastique  du dinar qui est  passé de 76/80 dinars un dollar vers les années 2000/2004, et,  à 136,3867 dinars un dollar et 161,2601 dinars un euro, le 19 septembre 2021, avec une cotation sur le marché  parallèle malgré la fermeture des frontières, dépassant les  210 dinars un euro.  La loi de finances 2021  prévoit pour 2022, 149,32 DA pour 1 USD et pour 2023, verrait donc la dévaluation de la monnaie nationale se poursuivre avec 156,72 dinars un dollar, ce qui rend sceptiques les investisseurs créateurs de valeur   ajoutée à moyen terme,  face, tant à l’instabilité juridique que monétaire, spéculer   étant plus rentable que réaliser un projet . Cette dévaluation  permet d’augmenter artificiellement la fiscalité hydrocarbures (reconversion des exportation hydrocarbures en dinars) et la fiscalité ordinaire (via les importations tant en dollars qu’en euros convertis en dinar dévalué), cette dernière, accentuant l’inflation des produits importés (équipements), matières premières, biens finaux, montant accentué par la taxe à la douane s’appliquant à la valeur dinar, étant supportée, en fin de parcours, par le consommateur comme un impôt indirect, l’entreprise ne pouvant supporter ces mesures que si elle améliore sa productivité. L’effet d’anticipation d’une dévaluation rampante du dinar   a  un effet négatif  sur toutes les sphères économiques et sociales dont  le taux d’intérêt des banques qui devraient le relever de plusieurs points, s’ajustant aux taux d’inflation réel, freinant à terme, le taux d’investissement à valeur ajoutée et  par   la déthésaurisation des ménages qui mettent, face à la détérioration de leur pouvoir d’achat, des montants importants sur le marché, alimentant l’inflation, plaçant leur capital-argent dans l’immobilier, l’achat d’or ou de devises fortes pour se prémunir contre l’inflation.  Quatrièmement, les effets du financement non conventionnel qui ne se manifestent qu’au bout de deux à trois ans.  Les gouvernements précédents avaient amendé l’article 45 de la loi sur la monnaie et le crédit en recourant à la planche à billets, sans introduire, comme je l’ai suggéré,  l’institutionnalisation dans cette loi, d’un comité de surveillance, composé d’experts indépendants, pour éviter toute dérive. Outre la couverture des besoins du Trésor, le financement non conventionnel était destiné au remboursement de la dette publique interne, notamment, les titres de l’Emprunt national pour la croissance, levé en 2016, ainsi que les titres émis en contrepartie du rachat de la dette bancaire de Sonelgaz et ceux émis au profit de Sonatrach, en compensation du différentiel sur les prix des carburants importés et de l’eau dessalée.   Sur les 6 556,2 milliards (mds) de dinars mobilisés jusqu’en janvier 2019 par le Trésor public auprès de la Banque d’Algérie, dans le cadre du financement non conventionnel, un reliquat de 610,7 mds de dinars restait à consommer d’ici à la fin 2019. Après avoir été abandonné en 2020, le recours à la planche à billets a été décidé en 2021 pour suppléer au manque de liquidités, avec une dette publique totale par rapport au PIB de 63,3% en 2021, contre 53,1% en 2020, et que la dette publique nette totale représentera 60,5%, contre 50,4% pour la même période d’un montant, pour 2021, d’environ 2100 milliards de dinars, environ 16 milliards de dollars. afin d’éviter le recours à l’endettement extérieur. Or les expériences historiques dans le  cadre de l’application de la théorie néo keynésienne de relance  de la demande globale ( consommation et investissement) à travers l’émission monétaire, est applicable  à des économies  structurées qui ont  une économie productive en sous capacités. Or,  avec une faiblesse  de l’offre, si cette injection est faite  pour combler le déficit budgétaire et le versement de salaires sans contreparties productives, elle  résout  un problème à court terme mais amplifie  la crise à moyen terme, étant inappropriée pour l’Algérie qui souffre de rigidités structurelles (léthargie de l’appareil de production) avec le risque d’une spirale inflationniste incontrôlable comme au Venezuela, première réserve de pétrole dans le monde, (1000% par an).  Cinquièmement,  l’inflation est alimentée par la dominance de la sphère informelle, produit des dysfonctionnements des appareils de l’Etat où existent des liens dialectiques entre cette sphère et la logique rentière, avec des situations oligopolistiques de rente. La décision récente, méconnaissant  le fonctionnement du secteur agricole, de permettre aux producteurs d’écouler  directement leur production  est une utopie,  car n’ayant pas  les moyens de financement et de stockage, qui au lieu d’atténuer la hausse des prix,  l’accélère, là où dans tous les pays du monde  il s’agit de réguler les grossistes.  Cette  sphère  emploie  plus de 40% de la population active,  notamment dans le commerce, les  services, certains segments de l’industrie,  et  l’agriculture.  Le dérapage du dinar par rapport au dollar et à l’euro, accélère la sphère informelle par la méfiance du citoyen vis-à-vis du dinar, amplifiant la sphère informelle, où, selon la Banque d’Algérie, entre 2019/2020, la masse monétaire en dehors du circuit bancaire, a atteint 6140,7 milliards de dinars, soit une hausse de 12,93% par rapport à 2019, le président de la République en mars 2021 ayant annoncé entre 6000/ 10.000 milliards de dinars, soit, entre 33 et 47% du PIB,  et dénoncé le manque d’informations fiables qui faussent toute prévision, ( voir étude réalisée sous ma direction pour l’Institut Français des Relations Internationales IFRI décembre 2011, réactualisée pour  la revue stratégie de l’IMDEP du Ministère de la défense nationale, MDN en octobre 2019 sur le poids de la sphère informelle et ses impacts géostratégiques).   Cette sphère aligne le prix des biens sur la cotation de la devise du marché parallèle pour les produits importés, contrôlant les segments des fruits/légumes, poissons/viandes, textile/cuir et bon nombre d’autres produits importés qui connaissent un déséquilibre, offre/demande.

 En conclusion, comme je le rappelais déjà en 2013 ( voir  mes interviews sur ce sujet   à l’Agence France Presse – AFP- 4 août 2013 et à Radio France Internationale 06 août 2013 «l’Algérie et les  transferts illicites de capitaux ),  il reste beaucoup à faire pour que nos responsables s’adaptent aux arcanes de la nouvelle économie, où se dessinent d’importants bouleversements géostratégiques mondiaux, croyant que l’on fait des réformes, ou que l’on combat la fuite des capitaux, à partir de lois, de commissions et de circulaires, ignorant tant les mutations mondiales que la morphologie sociale interne, en perpétuelle évolution. Loin des bureaux climatisés,  nos bureaucrates, qui se livrent à des discours d’autosatisfaction, qu’ils aillent faire le marché et rouler avec leurs propres voitures,  pour constater les  prix exorbitants des réparations, la voiture n’étant pas un luxe du fait de la déficience des moyens de transport, et se rendre compte que  la situation économique et sociale est préoccupante. En ce XXIème siècle, une Nation n’étant forte que par son économie et l’adhésion de sa population, avec ses  potentialités , et  elles  sont énormes, peut  surmonter  la situation actuelle et devenir  un pays pivot au niveau de  la  région  méditerranéenne  et africaine.

A. M.

ademmebtoul@gmail.com

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