Par Zoheir Zaid
La cérémonie d’ouverture de l’année pédagogique 2021-2022 des établissements de formation de la pèche et de l’aquaculture, s’est tenue, ce matin lundi 25 octobre, au niveau de l’Institut national supérieur de la pêche et de l’aquaculture (Inspa), à Alger.
Le ministre de la Pêche et des Productions halieutiques (Mpph), Hicham Sofiane Selouatchi, a lors de son allocution inaugurale, révélé que le nombre des nouveaux postes pédagogiques est de 2 294, répartis de la manière suivante : 1519 inscrits dans la conduite des navires et des opérations de pêche, 700 en conduite des machines des navires de pêche, 50 en plongée sous marine professionnelle et 25 en aquaculture. Les instituts de formation de Ghazaouet, l’Inspa et Annaba sont sur le podium en nombre de nouveaux inscrits, respectivement de l’ordre de 671, 465 et 356 nouveaux inscrits.
Il a également rappelé que le nombre total des inscrits est de 7 525, dont 1973 inscrits professionnels pour la formation sur site et 2258 apprenants en cours de formation.
La formation à la carte, quant à elle, a enregistré 1 219 nouveaux inscrits, dont 995 en aquaculture (intégration de la pisciculture à l’agriculture) et 224 en pêche (conduite des navires de pêche).
La formation sur site constitue 39% du taux global, suivie à parts égales, 30%, des apprenants en cours de formation et des nouveaux inscrits, alors que la plongée sous marine professionnelle, la quatrième catégorie citée, ne représente que 1% du taux global des inscrits pour l’année 2021-2022.
Par ailleurs, le Mpph a annoncé le lancement d’une formation en Radiocommunication au profit de 9 entreprises portuaires d’Alger, de Djendjen (Jijel), de Bejaïa, de Skikda, d’Annaba et d’Arzew, et qui se déroulera à l’Inspa, en 15 sessions de formation, et à l’Institut des technologies des pêches et de l’aquaculture de Collo (Skikda), en 13 sessions de formation. Cette formation sera lancée dans le cadre d’une convention tripartite, en cours de signature, avec l’Institut des technologies des peches et de l’aquaculture d’Oran (Itpa) et l’Agence nationale des fréquences (Anf).